Une conception diminuée du nationalisme québécois

Photo: Valerian Mazataud, Le Devoir

Dans l’article « Quatre partis, quatre déclinaisons du nationalisme québécois » (7 et 8 septembre, B 1), les correspondants parlementaires du Devoir à Québec Marco Bélair-Cirino et Mylène Crête rapportent la définition du nationalisme du premier ministre François Legault : « être nationaliste, c’est d’abord fondé sur trois piliers : la langue française, la culture et la laïcité de l’État ». Ils rapportent ses propos selon lesquels les deux formes de nationalisme, autonomiste ou indépendantiste, contribuent à développer la fierté en permettant d’avoir des « projets collectifs ». Pourtant, chaque forme de nationalisme soutient un projet fort différent : le maintien du statut de province ou un projet d’émancipation politique et économique…

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